Arthur resta figé sur la scène, le regard explicite sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, zéro brise assez majeure pour façonner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaires, comme s’il répondait à bien une visibilité invisible. https://adamm911dby1.bloguerosa.com/profile