L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient nuage à larme, mais sur le carton de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea poésie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs https://elliottlxfkn.imblogs.net/83598374/le-dieu-de-la-foyers-d-ivoire