Le carnet du soldat, désormais noirci de annotations fiévreuses, reposait près de la radio. Il avait passé l'obscurité à se rappeler une faille dans le message hébergé, à démonter mentalement tout élément de la transmission. Le prénom évidemment était le sien, assidu d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://reidepwbw.kylieblog.com/34446696/le-nombre-froid