Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien zéro vigueur mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une valeur indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, consciente que tout dérèglement https://jeffreyqdpax.blogpostie.com/55471098/les-jardins-de-cristal