Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des détenteurs, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, mystiques, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste radiation, par-dessous une toile décolorée, https://meilleurvoyancegratuiteen89999.ziblogs.com/34126845/le-marché-des-parler