Les nuits se succédaient dans la vallée andalouse, calmes en apparence mais chargées d’une tension artérielle silencieuse. Ana poursuivait ses siècles, habitée par une diversité d’émerveillement et de culpabilité. Chaque soir, dans le jardin parfumé par le jasmin, elle libérait doucement ses papillons nocturnes, se mettant à sérieusement leurs vols https://lauriana44321.theisblog.com/34590998/les-ailes-du-calme